roue des émotions

Nos émotions

Mieux comprendre les émotions c’est mieux se comprendre !
Mieux maitriser les émotions, c’est se libérer de nos schémas récurrents et cheminer vers ce qui est juste pour nous.

Baisser nos peurs

Dans ce challenge, je vous propose d’apprendre à observer les émotions qui vous arrivent au quotidien.
Nous commencerons par la PEUR.
Si la peur est nécessaire pour notre survie, sur-dosée et chronique elle devient néfaste-paralysante.
Le challenge proposé consiste à observer sur une semaine les peurs qui vous envahissent.
De les noter afin de déjà les conscientiser. Et aussi d’analyser leurs impacts sur votre vie.
Pour au besoin, seul ou accompagné, travailler à baisser vos peurs.
L’idée étant de faire de la place pour plus de sérénité, de joie !!

Décrypter nos émotions

On continue ce challenge !!
Je vous parle des émotions et vous propose de les décrypter avec finesse.
Il s’agit de noter les émotions les plus importantes de vos journées.
De les décrypter avec finesse en termes d’intensité et de type d’émotion.
Puis, pour chaque émotion, vous noterez ce qui l’a déclenché (les stimuli externes -événements, situations-).
Face à ces stimuli externes, qui ne sont souvent que des déclencheurs prétextes, vous remonterez à la racine de votre problème.
Pour mettre en place des actions concrètes.

Ici encore vous pouvez travailler seul ou accompagné.
L’idée étant de peu à peu mieux se connaître, pour gagner en bienveillance envers soi et les autres !!

Joie au quotidien

Mettre de la joie dans notre quotidien !!
Concrètement vous aller éduquer votre cerveau à valoriser le positif !!!
– Le soir vous reparcourrez votre journée avec le filtre de la joie.
Vous vous rappellerez alors tous ces petits moments de joie, même les plus anodins.
Ainsi, ça va nourrir votre nuit.
– Et le matin, vous allez projetez, placer des moments de joie dans votre journée.
Rappelez-vous que pour le cerveau l’imaginaire projeté-visualisé et le réel sont similaires.
Et pour vous, ça vous incite à valoriser ces moments, à les repérer, à en mettre en place, à y porter attention…

70% de nos pensées sont négatives !
Pourquoi ?

se comprendre
se comprendre

C’est une réaction primaire de survie de notre cerveau reptilien.
Effectivement pour notre survie, il est important de repérer ce qui ne va pas, ce qui peut-être dangereux pour nous. Il s’agit d’adapter rapidement notre réaction de fuite ou d’attaque.
A l’état sauvage, face aux nombreux dangers, il fallait être en état de veille permanente.
Repérer ce qui ne va pas est donc normal, puisque c’est notre réflexe primitif.
Dans ce contexte de survie, s’ébahir devant un arc en ciel, s’enthousiasmer d’un échange avec un ami, est relégué au second plan.

Pour autant, si être vigilant reste nécessaire, être autant à l’affût du négatif n’est plus totalement adapté à notre monde moderne.
Il nous faut alors développer nos pensées positives.

>>>> Valoriser les pensées positives est un vrai apprentissage !
Il nous faut éduquer notre cerveau, en valorisant le cerveau pré-frontal face au cerveau reptilien-archaïque.
– Des méthodes existent pour muscler nos attitudes au bien-être. On peut notamment travailler par visualisations positives. (Puisque notre cerveau ne fait pas la différence entre ce que nous vivons ou ce que nous imaginons-projetons de vivre).
– Du côté de l’énergie, le Grand Ralentisseur est une grande aide pour nous permettre de baisser nos pensées négatives.

Pourquoi maîtriser ses émotions ?

comprendre ses émotions
comprendre ses émotions

Avoir des émotions, c’est ce qui nous caractérise en tant qu’être humain, en tant qu’être sociable.
Mais parfois nos émotions nous envahissent, nous submergent et nous dépassent. On perd tous nos moyens, on pète les plombs ! On disjoncte !
En effet, qui n’a jamais hurlé de façon disproportionné… ou pleuré ou tapé ?
Bref, qui n’a jamais eu une attitude hystérique, sur-proportionné lors d’une scène de ménage, lors d’une remontrance face à ses enfants, face à un employé etc…

Certaines personnes désireuses de contrôler leurs émotions, les évitent, les enfuient en eux…
Malheureusement, celles-ci ressortent un jour soit de façon explosive, soit de façon plus insidieuse sous forme de symptômes, de maladies.

Il ne s’agit donc pas de ne plus avoir d’émotion, de ne plus réagir ou de ne plus ressentir.
Il s’agit bien plus de ne pas les laisser nous envahir jusqu’à la perte de contrôle de notre comportement.

Maîtriser ses émotions, c’est avoir à la fois la capacité de les vivre.
Lorsqu’on a de la peine, on peut s’autoriser de pleurer. Lorsqu’on est joyeux, on peut s’autoriser de rire.
Maîtriser ses émotions, c’est avoir la capacité de les identifier et de les relier aux éléments déclencheurs.
> Je suis en colère. Mon enfant laisse ses affaires trainer.
Mais surtout, c’est avoir la capacité de recul afin de discerner derrière l’élément anecdotique, la raison profonde, ce qui est touchée-blessé chez nous.
> Au-delà des chaussettes qui trainent, je ne me sens pas respectée et c’est ça qui me met en colère.
A partir de là, je vais comprendre ce que vient me signaler mon émotion. Et je vais pouvoir agir et communiquer avec la personne.
> Discuter, s’affirmer avec bienveillance, expliquer nos limites.

La roue des émotions

roue des émotions
roue des émotions

Regardez cette première roue des émotions.
Et oui la « sérénité » est une joie apaisée. La déception, la dépression est un mélange de tristesse et surprise.

On peut ensuite allez bien plus loin dans les émotions complexes. Ainsi la culpabilité est une association de joie et de peur.
Apprenez à identifier vos émotions, apprenez à les vivre, apprenez à en discuter !!!
Cela vous permettra de mieux vous comprendre et de mieux appréhender les autres.

se connecter à la joie
se connecter à la joie

La joie est une émotion vive et très agréable.
En effet, elle vient mettre en lumière ce qui est positif.
Lorsque nous sommes dans la joie, ça diffuse dans tout notre corps à partir de notre cœur. ❤️
La joie, comme l’amour fait de nous des êtres rayonnants.
En se connectant à la joie, à l’amour, à la paix nous montant notre fréquence vibratoire.
Reconnecter à la joie, c’est se connecter à soi, à ce qui nous fait du bien. C’est épurer notre stress, notre mal-être, nos colères.
Nous sommes par essence joie et amour. A nous de nous y reconnecter. C’est un état d’être, un sentiment profond.

Programmé pour se faire aimer !

programmé pour se faire aimer
programmé pour se faire aimer

Et oui, nous sommes programmés pour attirer l’amour des autres.
Pourquoi ? Car notre survie en dépend. Enfant, nous ne sommes pas autonomes, nous avons donc besoin d’adultes référents.
De fait le jeune enfant met tout en œuvre pour se faire aimer et ne pas être rejeté, abandonné ; sans quoi il ne survivrait pas /// OK plus tard ça change 😉

L’enfant fait en sorte de répondre à vos attentes. Si vous voulez une fille calme, ou si vous valorisez son dynamisme, vous influencez son comportement.

Cet état de fait, fait que nous apprenons parfois trop à faire pour plaire aux autres, en s’oubliant soi- même.
Certains adultes grandissant alors dans l’incapacité de dire NON ou STOP ou de trouver des COMPROMIS bienveillants pour l’autre et avant tout bienveillant pour soi-même.

Alors apprenons à recentrer les choses !
Être aimable, OUI, faire pour l’autre au détriment de soi NON.

Pour certains il faudra accepter que parfois nos comportements vont décevoir l’autre. Nous ne pouvons pas, que faire plaisir.
Il faut alors sortir du besoin de reconnaissance de l’autre et se recentrer sur soi.
Il s’agit tout simplement d’apprendre à se respecter et à connaître nos propres limites (professionnellement, amicalement, familialement…).
Pour d’autres il faudra s’autoriser à s’aimer soit même et à faire avant tout pour soi.
On ne peut être véritablement bien avec autrui, si on n’est pas bien avec soi-même.

vers des relations saines

Construire des relations saines


RELATIONS STEREOTYPEES et DYSFONCTIONNELLES

le triangle dramatique de Karpman «Victime Persécuteur Sauveur»

Stephen Karpman : psychiatre Américain -élève d’Eric Berne- 1910 1970 Fondateur de l’analyse transactionnelle : Outil de diagnostic d’un patient qui exprime une souffrance et outil de classement dans une catégorie psychologique et enfin outil pragmatique de thérapie d’un patient qui participe à toutes les phases du diagnostic et du traitement.

Théorie du Triangle Dramatique publiée en 1968 dans son article « contes de fées et analyse dramatique du script » :
Ce triangle met en évidence un scénario relationnel typique entre victime, persécuteur et sauveur.
Ces relations stéréotypées engendrent une «mécommunication», c’est à dire une incompréhension entrainant un conflit ou une rupture d’échange.
De plus, ils sont binaires dans leur comportement : c’est tout noir ou tout blanc. Il n’y a pas de juste milieu, nécessaire pour un échange véritable.
Ce type de relation engendre alors des relations dysfonctionnelles, via des jeux psychologiques de dépendance et de manipulation. Ces relations sont subies et vécues comme désagréables… ça tourne en rond dans ce triptyque.
Ces relations sont alors contre-productives. Car les protagonistes deviennent dépendant les uns des autres et n’ont plus de recul sur leurs émotions et idées propres.

Identifier ce triangle permettra d’apprendre à en sortir et de repartir sur des bases saines.
Il s’agit d’apprendre à se connaître, à s’écouter et se positionner tout en échangeant et prenant en compte les autres .

cf. communication Non violente

Enfermé dans ce triangle relationnel malsain,

nous jouons tour à tour différents rôles :

Couple, famille, monde professionnel, addictions … Les situations où se manifeste ce triangle dramatique sont presque infinies.

Ex: jeu manipulatoire des rôles au quotidien : S1 bourreau de S2, le manipule. S1 affirme à S2 : « Tu n’as pas honte de refuser de manger ces bons haricots verts ? Quand je pense aux efforts que Pépé a faits pour les semer, les désherber, et les ramasser alors qu’il a mal au dos ! » S1 bourreau de S2, se fait passer ici pour un sauveur de pépé décrit en victime (qui est ici absent) et place S2 en bourreau.

Cette théorie d’analyse transactionnelle de 1968 a été qualifiée comme le E=MC2 de la gestion des conflits.

La victime

Elle attire le sauveur qui veut lui venir en aide. C’est donc un rôle de choix pour attirer l’attention sur soi quand on sait bien en jouer. C’est un rôle qui appelle quelqu’un à être persécuteur, attente qui sera remplie ou non par l’entourage. Le plus souvent, la victime a un problème de dépendance.
La position de la victime est « Pauvre de moi ! » La victime se sent victimisée, opprimée, impuissante, sans espoir, honteuse et semble incapable de prendre des décisions, de résoudre des problèmes, de prendre plaisir à la vie ou d’obtenir des idées. La victime, si elle n’est pas persécutée, cherchera un persécuteur et également un sauveur qui sauvera la situation, mais perpétuera également les sentiments négatifs de la victime.

Le Persécuteur « le méchant »

Le persécuteur agit sur la victime. S’il tente de nouer cette relation avec une potentielle victime, celle-ci pourra réagir différemment : adopter la position de victime ou, au contraire, ne pas se laisser faire.

Le persécuteur n’est pas obligatoirement une personne : il peut être, par exemple, une maladie, une addiction comme l’alcool… ou tout élément perturbateur qui contribuera à placer la victime dans cette position.

Le persécuteur insiste : « Tout est de votre faute. ». Il contrôle, blâme, critique, oppresse ; est en colère, autoritaire, rigide et supérieur

Le Sauveur « le gentil »

C’est un rôle très gratifiant d’un point de vue narcissique mais qui place la victime en incapacité de résoudre ses problèmes. Il attend un persécuteur pour justifier son existence et une victime à sauver. L’entourage pourra suivre ou ne pas suivre dans cette pièce de théâtre.

La réplique du sauveur est « Laissez-moi vous aider ». Un élément facilitateur classique consiste en le sentiment de culpabilité que peut éprouver le sauveur s’il ne va pas à la rescousse de la victime. Cependant, son sauvetage a des effets négatifs : il garde la victime dépendante et lui donne la permission d’échouer. Les avantages découlant de ce rôle de sauvetage sont que l’attention du sauveur à lui-même est supprimée. Quand il concentre son énergie sur quelqu’un d’autre, cela lui permet d’ignorer sa propre anxiété et ses problèmes.

Les contes et les héros de notre enfance regorgent de ces relations stéréotypées.

N’est-ce pas alors normal que nous tombions nous-même dans ce piège, de ces relations peu constructives ? > Ma posture est rigide au sein du «triangle dramatique» : J’adopte un rôle de victime qui subit et se plaint. Ou un rôle de persécuteur qui attaque. Ou un rôle de sauveur qui intervient.

Les rôles y sont souvent très figés.

Ex: Cendrillon persécutée par sa belle mère est sauvée de sa condition misérable par un prince charmant (au préalable, elle recoit l’aide d’une fée).

Ex: Chaperon rouge / Loup / Bucheron

Ex: La célèbre comédie « Le dîner de cons » en est une parfaite illustration avec le fameux Pignon en victime et Brochant en Persécuteur.

Ex: Le héros (Superman, James Bond…) -SAUVEUR / un problème via le méchant ou la situation – PERSECUTEUR / une femme en danger -VICTIME

Toutefois, ce modèle transactionnel peut évoluer dans le temps. En effet, un personnage peut changer de rôle. Une victime peut devenir un sauveur ou un persécuteur au fil des événements. Cela ouvre la voie à des retournements de situations.

Car ces relations inappropriées et dysfonctionnelles, entrainant des jeux de dépendance et de manipulation, amènent aux ressentiments, à la culpabilité, à la vengeance…

Ex : Les 3 petits cochons (victime) du loup (persécuteur) /// qui se vengent en devenant bourreau du loup.

Relations changeantes : les rôles tournent dans le cadre du triangle «Victime Boureau Sauveur»

> Je change de rôle-de point de vue et m’assouplie. J’évolue, je me transforme au sein du «triangle dramatique». Mais je reste toujours enfermé dans ces jeux de rôles peux constructifs.

Les rôles ne sont pas figés de manière stricte. On peut être tour à tour victime puis persécuteur selon le contexte et la situation. Les rôles tournent : la victime devient bourreau de son ancien boureau…
Le sauveur devient victime / La victime devient sauveur….

Ex: dans la trilogie Star War de Georges Lucas avec le personnage complexe d’Anakin Skywalker-Dark Vador-

1/ Enfance d’Anakin Skywalker : enfant esclave /// VICTIME de cette situation.

Quand le Jedi Qui-Gon Jinn arrive sur Tatooine, il rencontre Anakin chez Watto (PERSECUTEUR). Il découvre rapidement que le jeune esclave pourrait être l’élu d’une ancienne prophétie. Pariant sur le jeune garçon lors d’une course avec Watto, le Jedi (SAUVEUR) obtient l’affranchissement d’Anakin et quitte la planète dans l’idée de faire de lui un Jedi.

Sa mère accepte de se séparer de son fils pour le sauver de sa situation d’esclave (SAUVEUR).

2/ Formation d’Anakin Skywalker : se forme en tant que Jedi pour devenir un SAUVEUR
Au delà de sauver le monde !
Son objectif personnel reste de sauver sa mère Schmi Skywalker, restée esclave sur la planète Tataoine -VICTIME-.
Esclave toujours de de Watto -PERSECUTEUR-

3/ Anakin Skywalker vient chercher sa mère sur Tataoine : passe de SAUVEUR à VICTIME de situations insupportables pour lui.
10 ans plus tard, devenu sauveur. Il revient sur Tataoine pour sauver sa mère de sa situation d’esclave.
Or, il comprend que sa mère -VICTIME- a été capturée, torturée et battue à mort par des hommes des sables -PERSECUTEURS-.

C’est un renversement de situation. Il échoue ici à être sauveur… Ca le perd, il est alors victime de cette situation.

Puis son objectif est de sauver sa femme de la mort annoncée lors de son accouchement.
Il se fait manipuler par Palpatine, Dark Sidious -PERSECUTEUR-.
Il décide de passer du côté obscur pour SAUVER sa femme. Il échoue. Il est VICTIME de cette situation -mort de sa femme-

4/ la colère entraine un désir de vengeance. Il devient Dark Vador -part sombre- -PERSECUTEUR-
Quand Vador apprit la mort de sa femme, il s’en prit à son maître. Ce dernier avoua son échec mais lui rappela que cette mort le rendait plus puissant dans le côté obscur. Alors il relâcha son emprise sur son maître, qui lui envoya des éclairs de Force, en soulignant le fait qu’il n’hésiterait pas à le tuer si cela se reproduirait.
Par désespoir, colère, il rentre complétement du côté obscur et devient Dark Vador -PERSECUTEUR-
Il est sous la coupelle de Dark Sidious -palpatine-.
Il repend alors le mal.

5/ la rencontre avec son fils Luc Skywalker -SAUVEUR- , qui le perçoit comme VICTIME et veut le ramener du côté de la lumière.

vers une RELATION plus FINE : Sortir du triangle : lors de la Scène du duel. Luc ne peut tuer son père.
Dark Vador, redevient père, redevient Anakin et ne peut tuer son fils.

Avant de mourir, il revient du côté de la lumière, il retrouve son identité d’Anakin.
Symboliquement et physiquement, il enlève son masque. Masque de douleur, colère pour revenir dans ses propres émotions.

Ils sont alors dans un véritable échange, dans un respect de qui ils sont.


Sortir du triangle dramatique.

Après avoir pris conscience de ces jeux de rôles et de leurs dysfonctionnements, on peut alors modifier nos relations.

Aller vers des relations vertueuses : « Responsable Challenger Coach »


Le responsable énonce une problématique en connaissant ses limites et capacités. Il retrouve alors ses propres responsabilités et son autonomie. Il n’est plus dépendant d’un sauveur. Il devient créateur -au sens de décideur et d’acteur- de sa propre vie.

Le challenger permet d’aller de l’avant. Il amène à se dépasser en proposant des défis réalistes. Il nous amène à surmonter les épreuves et à sortir d’une attitude de mollesse et de passivité. Il motive et dynamise.

Le coach écoute et propose de nouvelles perspectives. Il valorise et accompagne sans infantiliser. Il n’est pas là pour décider ni faire à notre place. Il nous laisse devant nos propres choix et responsabilité. Au besoin et si cela est souhaité, il peut par exemple nous écouter, nous apprendre, nous former. Il encourage et accompagne afin que nous puissions accéder à notre propre potentiel.

RELATIONS SAINES, BIENVEILLANTES, CONSTRUCTIVES et VERTUEUSES :

« Responsable Challenger Coach »

Relations fines et constructives
> Je me me réalise au sein d’un triangle basé sur l’échange constructif. Je deviens challenger, coach, créatif (responsable et puissant)

On apprend alors à communiquer et non plus à se plaindre (victime) ou à commander (bourreau) ou à faire pour l’autre (sauveur). L’écoute, la discussion, l’échange a lieu. On passe de victime à responsable /// de persécuteur à challenger /// de sauveur à coach.

On sort d’une vision stéréotypée et binaire, du bien et du mal. On gagne en souplesse en acceptant que l’autre soit différent de nous, et que l’on ne le comprenne pas toujours. On arrête de juger. Ici chacun se respecte dans ses différences, en conscience de ses capacités, de ses fragilités et de ses responsabilités. La relation n’est plus binaire, elle est ouverte. On apprend de l’autre. On se fait confiance, tout en restant vigilant (on n’est ni candide, ni méfiant).

On y prend sa juste place, on y exprime son cadre et ses limites. On fait notre part (sans trop en faire, ni pas assez), tout en laissant l’autre faire la sienne. On s’écoute et on y assume ses propres désirs et envie. On se fait passer en priorité et on se laisse le droit de décevoir l’autre, tout en en tenant compte (sans excès de gentillesse, ni malveillance). On lui signifie ce qui est juste pour soi. La relation saine amène à ne plus dire OUI à tout, le NON est possible. Et bien plus, toute la palette intermédiaire des compromis et des propositions devient possible.

On s’adapte tout en se rappelant que l’on fait de notre mieux. On se soutient et s’accompagne mutuellement pour libérer nos potentiels !

Merci à Valérie J. pour son suivi et ses transmissions.